«Dans
les années 1920, Maurras s'est fait greffer des testicules de singe
pour soutenir sa virilité défaillante».
Cette
affirmation, lancée à la légère, en 2001, par la plus importante
revue d'histoire médicale française, a été reprise et amplifiée par
un éminent professeur de médecine, spécialiste de la transplantation
rénale, et par un philosophe à la mode, Michel Onfray.
Yves
Chiron réfute ce bobard «scientifique». |